Par décision ministérielle, le département du Puy de Dôme est concerné, en partie, pour bénéficier du vaccin contre la MHE financé par l'Etat, vous trouverez ci-dessous la carte des communes concernées pour notre département.
Les principales recommandations de l'ANSES pour la stratégie vaccinale MHE pour essayer d'enrayer la diffusion de la maladie sont les suivantes:
- vacciner dans un périmètre de 50 KM en amont de la zone régulée
- protéger au moins 70 % des cheptels
Le vaccin HEPIZOVAC® bénéficie d’une Autorisation Temporaire d’Utilisation (ATU) depuis le 6 août, seulement pour les bovins. Il est disponible depuis mi-septembre, en 2 injections.
Les élevages dont le siège d'exploitation est situé en zone vaccinale peuvent bénéficier du vaccin gratuit. La vaccination est volontaire et peut-être réalisée par l’éleveur. Les commandes de vaccin sont à passer auprès de votre vétérinaire sanitaire.
Hors de cette zone, le vaccin est payant.
Pour le Puy-de-Dôme, vous pouvez télécharger ici la liste des communes bénéficiant de ce dispositif . Si vous êtes éleveurs dans ces communes, rapprochez-vous de votre vétérinaire.
La zone régulée MHE dans le département du Puy-de-Dôme évolue régulièrement. Depuis le 26/09/2024, toutes les communes du Puy-de-Dôme sont dans la zone régulée MHE.
Afin que vous puissiez suivre la réglementation et toutes les évolutions concernant la MHE, nous vous conseillons de vous connecter régulièrement au lien suivant : https://agriculture.gouv.fr/mhe-la-maladie-hemorragique-epizootique
Cela a pour conséquence que les mouvements d’animaux (bovins, ovins, caprins, camélidés) issus de cette zone ne sont plus possibles à destination d’un autre Etat membre de l’Union Européenne. Certaines destinations vers les pays tiers font également l’objet de restrictions.
Cependant, des dérogations ont été accordées pour des envois d’animaux à destination de l’Espagne et de l’Italie.
Un premier foyer de FCO séroype 3 a été détecté dans un élevage du Puy-de-Dôme situé sur la commune du Montel-de-Gelat.
8 436 foyers de FCO de sérotype 3 étaient recensés, au 05 décembre 2024, répartis dans les départements suivants : Aisne, Ardennes, Haute-Marne, Marne, Meurthe et Moselle, Meuse, Moselle, Nord, Oise, Orne, Pas-de-Calais, Saône-et-Loire, Somme, Aube, Doubs, Nièvre, Haute-Saône, Sarthe, Yonne, Cher, Eure-et-Loire et Loiret, Mayenne, Seine-Maritime, Indre-et-Loire, Loir-et-Cher, Eure, Jura, Ain, Ardèche, Charente-Maritime, Corrèze, Loire, Haute-Savoie, Essonne, Calvados, Vendée, Val-d'Oise, Tarn-et-Garonne, Yvelines, Isère, Maine-et-Loire, Puy-de-Dôme, Gironde, Lozère, Corse du Sud, Manche.
Les recommandations sanitaires du réseau GDS sont :
- Surveiller les animaux matin et soir : état général, comportement alimentaire/hydratation, production
- Contacter son vétérinaire rapidement pour qu’il soigne les animaux et qu’il déclare les cas à la DDecPP
- Limiter et sécuriser les mouvements depuis une zone atteinte pour ralentir la propagation de la maladie
- Vacciner ses animaux (bovins et ovins) dès que possible afin de réduire l’impact clinique et de réduire la diffusion de la maladie. Pour la FCO sérotype 3, l'Etat met à disposition des doses de vaccin gratuitement. Pour en bénéficier, il faut se rapprocher de son vétérinaire sanitaire.
Le conseil d’administration du GDS a validé le 16/09/2024 de nouveaux dispositifs pour vous aider à protéger vos troupeaux des maladies vectorielles (FCO notamment). Cette aide est possible grâce aux cotisations cumulées des adhérents sur plusieurs années et mises en réserve dans la Caisse d’Entraide Ovine gérée par le GDS. Chaque année vous contribuez par vos cotisations à la constitution d’une caisse « coup dur » (assurantielle) qui permet aujourd’hui au GDS de vous aider dans l’action sanitaire.
En complément du dispositif déjà voté en novembre et décembre 2023 et dans la limite de l’enveloppe allouée, vous pouvez bénéficier des aides préventives suivantes afin de faire face à la crise sanitaire actuelle.
Aides FCO :
• Aide à la réalisation des échographies : 0.30 € HT/femelle échographiée. Les échographies sont d’excellents moyens de vérifier la fertilité de ses béliers, qui peut être impactée par le passage de la FCO.
• Aide à la vaccination (sérotype 8) des béliers : 3.50 € HT/bélier. La vaccination de la voie mâle permet de limiter les risques d’infertilité des béliers liés à une contamination naturelle par la FCO.
• Aide à la vaccination (sérotype 8) du troupeau et cela à partir de septembre 2023 (un complément d’aide sera donc versé automatiquement aux adhérents ayant déjà réalisé la demande au GDS) :
- 1€ HT/brebis cotisante pour les vaccins ayant une seule injection (exemple : Syvazul 4 et 8)
- 2€ HT/brebis cotisante pour les vaccins à deux injections (exemple : BTV Pur 4 et 8 ou bluevac 8).
La vaccination des troupeaux est le seul moyen de lutte contre la FCO. Développer le système immunitaire global du troupeau est un moyen de limiter les risques de morbidité (taux d’animaux malades) et de mortalité.
Aide aux mouvements MHE et FCO-3 :
Tous les cheptels naisseurs (adhérents au GDS 63) en zone régulée du département peuvent bénéficier d’une aide MHE/FCO-3 lors de mouvements (vente en élevage) vers une zone non régulée.
Ainsi, les éleveurs adhérents peuvent demander une prise en charge partielle des analyses aux mouvements afin de transiter vers la zone non régulée (MHE et/ou FCO-3).
• Aide mouvement : 40% par analyse (dans la limite de 6€ HT maximum par analyse). Cette mesure entre en vigueur au 10/11/2023 pour la MHE et au 30/08/2024 pour le FCO-3.
Pour bénéficier de ces aides, vous devez justifier vos actions en envoyant une copie de vos factures au GDS à l’adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par courrier au GDS.
Les aides seront plafonnées au nombre de brebis cotisantes sur l’année de la vaccination et sous condition d’avoir cotisé au GDS l’année de la vaccination et l’année précédente, comme le prévoit le règlement intérieur.
Vous trouverez ci-dessous le planning de la collecte de vos DASRI (Déchets d’Activités de Soins à Risques Infectieux).
Elle se déroulera les 10-11-14-15-17-18 octobre 2024 sur les différents sites.
Découvrez la Gestion Déchet Pro en vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=w2JMqUNUXdI.
PLANNING DE COLLECTE GDS 63 Octobre 2024
Le programme d’indemnisation de la FCO sérotype 8 pour l’année 2023 a été validé par le Ministère de l’agriculture. Ce programme est porté par le FMSE (Fonds de Mutualisation Sanitaire et Environnemental) en cofinancement à hauteur de 65 % par le Fonds national de gestion des risques en agriculture . Il concerne les élevages reconnus foyers en FCO sérotype 8 entre le 01/07/2023 et le 31/12/2023.
Les conditions d’éligibilité sont les suivantes :
- Être une petite ou moyenne entreprise opérant dans le secteur de la production agricole primaire ;
- Être affilié à la section Commune et la section Ruminants du FMSE. Pour la section Ruminants, affiliation l’année de l’incident et l’année précédente (exception des éleveurs installés l’année de l’incident) ;
- Avoir fait l’objet d’une suspicion clinique posée par le vétérinaire de l’élevage et confirmée ensuite par un résultat d’analyse PCR positif FCO BTV-8 ;
- Avoir subi de la mortalité ou euthanasie pour des animaux de plus de 12 mois, liée à la maladie, au cours des 4 mois suivant la date de constatation de l’évènement sanitaire;
- La date de constatation de l’évènement sanitaire doit se situer entre le 1er juillet 2023 et le 31 décembre 2023.
L’instruction de ces dossiers est réalisée par le GDS qui prendra contact directement avec les éleveurs éligibles pour constituer les dossiers.
Un programme d’indemnisation de la FCO sérotype 8 pour l’année 2024 est validé, les modalités vous seront communiquées prochainement.
Par décision ministérielle, le département du Puy de Dôme est concerné, en partie, pour bénéficier du vaccin contre la MHE financé par l'Etat, vous trouverez ci-dessous la carte des communes concernées pour notre département.
Les principales recommandations de l'ANSES pour la stratégie vaccinale MHE pour essayer d'enrayer la diffusion de la maladie sont les suivantes:
- vacciner dans un périmètre de 50 KM en amont de la zone régulée
- protéger au moins 70 % des cheptels
Le vaccin HEPIZOVAC® bénéficie d’une Autorisation Temporaire d’Utilisation (ATU) depuis le 6 août, seulement pour les bovins. Il est disponible depuis mi-septembre, en 2 injections.
Les élevages dont le siège d'exploitation est situé en zone vaccinale peuvent bénéficier du vaccin gratuit. La vaccination est volontaire et peut-être réalisée par l’éleveur. Les commandes de vaccin sont à passer auprès de votre vétérinaire sanitaire.
Hors de cette zone, le vaccin est payant.
Pour rappel :
La Maladie Hémorragique Epizootique (MHE) est à nos portes. Cette maladie atteint essentiellement les bovins, et bien plus fortement que la FCO, avec des symptômes proches. Le virus en cause est transmis par un moucheron culicoïdes, comme pour le virus de la FCO.
L’Etat a en effet commandé deux millions de doses de vaccins, pour un montant de plus de 9 millions d'euros, soit la possibilité de protéger 1 million de bovins.
Pour le Puy-de-Dôme, vous pouvez télécharger ici la liste des communes bénéficiant de ce dispositif . Si vous êtes éleveurs dans ces communes, rapprochez-vous de votre vétérinaire.
Même si l’automne est là, les températures peuvent être douces et favorables aux moucherons d’ici l’hiver. Vacciner aujourd’hui reste pertinent pour protéger vos animaux.
Attention : ce vaccin est un vaccin de protection de troupeau. Pour les mouvements d’animaux, l’analyse PCR MHE négative reste la règle à suivre pour le moment.
Le vaccin BULTAVO 3®contre le serotype BTV 3 de la FCO bénéficie désormais d'une ATU pour les bovins avec l'allégation suivante : "immunisation active pour prévenir la virémie et les signes cliniques causés par le virus de la Bluetongue sérotype 3".
Les bovins issus de la ZR FCO 3 vaccinés par un vétérinaire depuis plus de 60 jours avec BULTAVO 3 sont éligibles aux échanges intra-UE.
En outre, certains EM (dont la France) ont notifié la condition dérogatoire suivante, conformément au point 7 de l'annexe 5 du règlement 2020/689, :
"Un animal est considéré comme vacciné si plus de 30 jours se sont écoulés depuis l’injection de primo-vaccination (si le vaccin utilisé nécessite une dose unique) ou plus de 10 jours se sont écoulés depuis la deuxième injection de primo-vaccination (si le vaccin utilisé nécessite 2 doses)"
Ainsi, les bovins issus de ZR FCO 3 qui répondent à cette dernière condition peuvent notamment partir vers : Belgique, Croatie, Espagne, Grèce, Italie ou encore le Portugal.
Selon la même logique, les bovins vaccinés avec BULTAVO 3® qui respectent les délais des conditions dérogatoires définies par la France peuvent être certifiés pour envoi vers la France.
Pour rappel, le vaccin BLUEVAC 3®ne permet toujours pas de rendre l'animal éligible à la certification aux échanges.
Au 19 septembre 2024, 2812 foyers étaient recensés, répartis dans les départements suivants : Aisne, Ardennes, Haute-Marne, Marne, Meurthe et Moselle, Meuse, Moselle, Nord, Oise, Orne, Pas-de-Calais, Saône-et-Loire, Somme, Aube, Doubs, Nièvre, Haute-Saône, Sarthe, Yonne, Cher, Eure-et-Loire et Loiret, Mayenne et Seine-Maritime.
Les recommandations sanitaires du réseau GDS sont :
- Surveiller les animaux matin et soir : état général, comportement alimentaire/hydratation, production
- Contacter son vétérinaire rapidement pour qu’il soigne les animaux et qu’il déclare les cas à la DDecPP
- Limiter et sécuriser les mouvements depuis une zone atteinte pour ralentir la propagation de la maladie
- Vacciner ses animaux (bovins et ovins) dès que possible afin de réduire l’impact clinique et, pour la FCO-8, de réduire la diffusion de la maladie
Pour suivre l’évolution des maladies vectorielles et pour plus d’informations, consulter régulièrement les sites suivants :
https://www.gdsfrance.org/fievre-catarrhale-ovine-serotype3/
https://agriculture.gouv.fr/la-situation-de-la-fievre-catarrhale-ovine-fco-en-france
Le GDS en collaboration avec le Groupement Technique Vétérinaire (GTV) a organisé 7 rencontres dans les territoires afin d’échanger sur les maladies vectorielles FCO et MHE du 13 au 23 septembre. (par ordre chronologique: Rochefort-Montagne, Saint-Gervazy, Ambert, Paslières, Pontaumur, Saint-Gervais-d'Auvergne et Besse-et-St-Anastaise).
Au total, 165 éleveurs et 27 personnes de structures d'accompagnement (DDPP, EDE, Chambre d'Agriculture, Copagno, OS ROM, vétérinaires, etc) ont répondu présents.
Vous pouvez télécharger la présentation faite lors de ces rencontres en cliquant ici
Conformément à la réglementation en vigueur, (arrêté du 9 août 2024 concernant les mesures financières relatives à la FCO et arrêté du 21 mai 2024 concernant les mesures financières relatives à la MHE en pièce jointe), dans le cas de suspicions cliniques FCO ou MHE, l'Etat prend en charge :
- La visite des animaux par le vétérinaire
- Les prélèvements nécessaires (dans la limite de 3 prélèvements par espèce concernée par la suspicion clinique
- Les frais de déplacement chez l'éleveur
- Les analyses faites par le laboratoire (penser à demander conjointement la FCO et la MHE)
En effet, même si il n’y pas de programme d’indemnisations validé actuellement, des discussions sont engagées au niveau national pour vous soutenir. Mettre en évidence les foyers FCO (par une analyse de sang) est le seul moyen pour justifier une situation de crise.
Au 29 août, 342 foyers de FCO sérotype 3 étaient recensés (contre 190 au 22/08), répartis dans les départements suivants : Aisne, Ardennes, Haute-Marne, Marne, Meurthe et Moselle, Meuse, Moselle, Nord, Oise, Orne, Pas-de-Calais, Saône-et-Loire, Somme.
Plusieurs mesures de gestion sont mises en place dans un rayon de 150 kilomètres autour des foyers afin de ralentir la diffusion de la FCO.
Le foyer recensé au sud de Saône-et-Loire impacte le département du Puy-de-Dôme : 460 communes du département sur 464 sont désormais en zone régulée. Seules 4 communes ne sont pas en zone régulée : Cros, Trémouille Saint-Loup, Labessette et Savennes.
L’instruction technique du 20/08/2024 détaille les mesures à respecter.
Par exemple, au sein de la zone régulée, les mouvements des animaux sont possibles vers :
- un abattoir situé dans la zone,
- une autre exploitation située dans la zone,
- un centre de rassemblement (CR) dans la zone, si les animaux sont ensuite envoyés sans autre transit vers un abattoir ou vers une autre exploitation située dans la zone.
NB : Lorsque qu’une exploitation est située partiellement en zone régulée, les mouvements d’animaux entre les différents sites de l’exploitation sont considérés comme des mouvements internes à la zone régulée.
Les animaux peuvent sortir de la zone régulée (ZR) vers une zone indemne française si les conditions suivantes sont respectées :
- protégé contre les attaques de vecteurs par des insecticides ou des répulsifs au moins pendant les 14 jours ayant précédé la date du départ des animaux et
- soumis avant le départ à une analyse de recherche de la FCO par PCR, dont le résultat s’est révélé négatif, effectuée sur un échantillon sanguin prélevé au moins 14 jours après la date de début de la période de protection contre les attaques de vecteurs.
Le départ de la zone régulée doit être effectif au maximum dans les 14 jours qui suivent le prélèvement sanguin, en veillant à ce que l’animal reste protégé contre les vecteurs au moins jusqu’à son chargement.
Toutes les conditions de mouvements sont détaillées dans l’instruction technique du 20/08/2024 (disponible ici).
En ce qui concerne, les concours (expositions/foires d’animaux) en zone régulée, seuls les animaux (espèces répertoriées sensibles à la FCO) détenus dans une exploitation de la zone régulée depuis plus de 30 jours peuvent participer à un rassemblement dans le cadre d’une manifestation, exposition ou foire ayant lieu dans cette zone (interdiction de mélanger les zones).
Les recommandations sanitaires du réseau GDS sont :
- Surveiller les animaux matin et soir : état général, comportement alimentaire/hydratation, production
- Contacter son vétérinaire rapidement pour qu’il soigne les animaux et qu’il déclare les cas à la DDecPP
- Limiter et sécuriser les mouvements depuis une zone atteinte pour ralentir la propagation de la maladie
- Vacciner ses animaux (bovins et ovins) dès que possible afin de réduire l’impact clinique et, pour la FCO-8, de réduire la diffusion de la maladie
Pour suivre l’évolution des maladies vectorielles et pour plus d’informations, consulter régulièrement les sites suivants :
https://www.gdsfrance.org/fievre-catarrhale-ovine-serotype3/
https://agriculture.gouv.fr/la-situation-de-la-fievre-catarrhale-ovine-fco-en-france
Races de France, La Coopération Agricole, Fédération nationale ovine et GDS France ont rédigé une note (disponible ici) sur les dernières recommandations sanitaires pour la Fièvre Catarrhale Ovine (FCO) sérotypes 3, 4 et 8 à destination de la filière ovine).
La nouvelle souche de sérotype 8 de Fièvre catarrhale ovine (FCO-8) apparue en aout 2023 a repris sa circulation et un nouveau sérotype (FCO-3) est arrivé en France. Ils engendrent des signes cliniques (animaux malades) d’intensité variable pouvant aller jusqu’à la mort des animaux, y compris des adultes. La FCO-3 impacte fortement les ovins.
Jusqu’à mi-2023, la FCO (d’autres souches et sérotypes) était présente en France depuis de nombreuses années sans signes cliniques, sauf dans de rares cas ; il s’agit d’une maladie virale « non contagieuse » (contamination possible par les aiguilles) affectant les ruminants domestiques (bovins, ovins, voire caprins) transmise par des moucherons piqueurs (Culicoïdes). La maladie est strictement animale, non transmissible à l’Homme et n’affecte pas les denrées alimentaires.
Il convient de :
- Surveiller les animaux matin et soir : état général, comportement alimentaire/hydratation, production
- Contacter son vétérinaire rapidement pour qu’il soigne les animaux et qu’il déclare les cas à la DDecPP
- Limiter et sécuriser les mouvements depuis une zone atteinte pour ralentir la propagation de la maladie
- Vacciner ses animaux (bovins et ovins) dès que possible afin de réduire l’impact clinique et, pour la FCO-8, de réduire la diffusion de la maladie
Pour suivre l’évolution des maladies vectorielles et pour plus d’informations, consulter régulièrement les sites suivants :
https://www.gdsfrance.org/fievre-catarrhale-ovine-serotype3/
https://agriculture.gouv.fr/la-situation-de-la-fievre-catarrhale-ovine-fco-en-france
Le webinaire du GDS 63 s’est tenu le 05/06/2024 sur le thème « Comment réagir face à un épisode de MHE ? ».
Si vous n’avez pas pu le suivre en direct, vous pouvez le regarder en replay en cliquant ici.
En tant que détenteur d’ovins et de caprins, vous jouez un rôle essentiel dans le secteur du sanitaire et de la santé de vos animaux. Afin de mieux répondre à vos besoins et améliorer nos services, le Groupement de Défense Sanitaire (GDS) du Puy-de-Dôme souhaite recueillir vos avis et attentes à travers un court questionnaire.
Votre participation est précieuse pour nous permettre d’adapter nos actions et nos services à vos besoins spécifiques. Le questionnaire ne prendra que quelques minutes de votre temps et vos réponses resteront strictement confidentielles.
Veuillez cliquer sur le lien suivant pour accéder au questionnaire :
Le conseil d’administration du GDS, ainsi que les membres de la commission ovine ont décidé (en plus du programme d’aide à la vaccination FCO) d’élargir l’accompagnement des éleveurs adhérents du GDS à la commercialisation d’ovins en zone non régulée MHE.
Comme le prévoit la réglementation (selon l’arrêté ministériel du 25/10/23 et instruction technique du 24/11/23) la réalisation des analyses MHE avant départ est obligatoire entre la zone régulée et la zone non régulée MHE.
Ainsi, cette aide GDS doit permettre de prendre en charge une partie de l’analyse MHE qui est facturée par les laboratoires lors de mouvements d’ovins issus de la zone régulée du Puy-De-Dôme pour les cheptels naisseurs vers une zone non-régulée.
L’objectif est d’accompagner la commercialisation d’agnelles, de brebis ou de mâles (avec un résultat favorable MHE) à destination de l’élevage.
La biosécurité est l’ensemble des mesures destinées à protéger une population animale, l’homme et l’environnement des agents infectieux transmissibles avec une triple finalité: santé animale, sécurité sanitaire des aliments et santé humaine.
Une grille d’auto-évaluation a été réalisée à partir des travaux du groupe « biosécurité et tuberculose » et des contributions des groupes Biosécurité de GDS France et de la SNGTV. L’objectif de cette grille est d’aider l’éleveur à évaluer son niveau de biosécurité, et de proposer des mesures concrètes adaptées aux points forts et aux points faibles identifiés. Elle aide à prioriser les investissements à prévoir en matière de biosécurité.
L’éleveur peut se faire accompagner par un conseiller ou par un vétérinaire, pour aider au renseignement ou à l’analyse de cette grille. Cet accompagnement technique peut également concerner la mise en place et le suivi des mesures choisies.
Eleveurs de bovins
Pour connaître le niveau de votre élevage quant à la Biosécurité suivez les indications et complétez la grille d’auto-évaluation.
Cette grille d’auto-évaluation est également disponible (au format pdf) avec les recommandations associées
Eleveurs d'ovins
Eleveurs de caprins
Pour connaître le niveau de votre élevage quant à la Biosécurité suivez les indications et complétez la grille d’auto-évaluation.
Vous trouverez ici le communiqué du Ministère de l'Agriculture concernant les dispositifs d'indemnisation MHE
Vous trouverez ici notre nouveau GDS INFO – Edition 2024 réalisé au niveau de notre Fédération Auvergne – Rhône-Alpes.
Il vous sera envoyé très prochainement.
La commission « petits ruminants » du GDS 63 s’est réunie le 13/11/2023 suite à la recrudescence de la FCO dans le département du Puy-de-Dôme. La Fédération Départementale Ovine a également alerté le GDS sur l’impact de la FCO en élevage.
Il a ainsi été décidé par le GDS d’accompagner les éleveurs d’ovins à la gestion de la FCO en élevage. Cette aide est possible grâce aux cotisations cumulées des adhérents sur plusieurs années et mises en réserve dans la Caisse d’Entraide Ovine gérée par le GDS. En effet, chaque année vous contribuez par vos cotisations à la constitution d’une caisse « coup dur » (assurantielle) qui permet aujourd’hui au GDS de vous aider dans l’action sanitaire FCO.
Dans le cadre du plan d’action suivant (4 volets), environ 50 000 € (25% de la caisse globale) seront redistribués aux éleveurs demandeurs.
La peste porcine africaine (PPA) est une maladie animale due à un virus qui touche exclusivement les porcs domestiques et les sangliers. Présente dans certains pays d'Europe et notamment en Italie du Nord (Piémont, Ligurie), dans le Latium, la Calabre, en Campanie et en Sardaigne et dans les Antilles, son introduction en France pourrait avoir des conséquences socio-économiques et sanitaires graves pour les filières professionnelles concernées.
Afin de vous proposer un accompagnement dans la gestion de vos Déchets d’Activités de Soins vétérinaires (DASRI), votre GDS a mis en place une solution collective en partenariat avec la société Gestion Déchet Pro. Cela fait plus de 10 années que nous travaillons ensemble sur l’élimination des déchets dans les exploitations agricoles.
Tout producteur de DASRI est responsable de l’élimination des déchets qu’il produit (article L541-1 à L541-50 du code de l’environnement).
Les DASRI sont soumis à des règles de traçabilité qui permettent d’attester de leur bonne destruction.
Vous êtes adhérents au GDS 63, le Groupement de Défense Sanitaire du Puy de Dôme vous propose de participer à la collecte des DASRI sur vos exploitations pour un meilleur respect de l’environnement.
Afin d’appliquer le règlement en vigueur et dans l’objectif de respecter au mieux l’environnement, il faut collecter les déchets d’activités de soins à risques infectieux (DASRI) au minimum tous les 6 mois.
Pour plus d'informations, vous pouvez télécharger la plaquette d'informations et le bulletin d'engagement .
Le formulaire de demande d'aides du Conseil Départemental pour l'année 2023 vous a été adressé dernièrement.
Vous pouvez le télécharger et nous le renvoyer accompagné d'un RIB dès à présent.
NOUVEAUTE: Le formulaire de demande d'aides couvre la période 2023-2027.
Formulaire à télécharger
Pour télécharger le formulaire, cliquer ici.
Le GDS 63 et le conseil départemental du Puy-de-Dôme (partenaires financiers) ont décidé à partir de février 2023 de financer à 100% l’analyse besnoitiose lors de l’introduction de bovins en élevage. Cela implique un dépistage sérologique, gratuit, systématique lors d’introduction de bovins dans une exploitation. Cette nouvelle action est essentielle pour limiter la diffusion de la maladie dans les élevages. En complémentarité d’une gestion sanitaire préventive, un formulaire spécifique « billet de garantie conventionnelle » est mis à disposition sur simple demande au GDS ou auprès de votre vétérinaire, lors d’achats de bovins en élevage. Celui-ci permet de réaliser des analyses préventives pour éviter l’introduction de maladies (exemple : IBR, BVD, Paratuberculose, Besnoitiose, Néosporose…) et permet également de contractualiser entre acheteurs et vendeurs en cas d’analyse positive. Ce billet de garantie conventionnelle est un outil pour protéger vos cheptels souches.
Dans le cadre de la maîtrise de la BVD, vous pratiquez peut-être la vaccination de votre troupeau reproducteur (génisses, vaches et taureaux) pour limiter la circulation virale, prévenir la naissance de veaux IPI et immuniser les veaux naissants via les anticorps présents dans le colostrum.
Vous trouverez ici un questionnaire à compléter dans le cas où vous avez mis en place un protocole de vaccination sur votre cheptel.
La période de mi-mai à fin octobre est considérée comme une période à risque vis-à-vis des infestations cutanées par Wohlfahrtia magnifica.
Quand suspecter cette myiase ? Que faire en cas de suspicion ?
Vous trouverez ici une fiche réalisée dans le cadre de la commission ovine de GDS France pour répondre à ces questions.
En 2019 et 2020, sur les Massifs du Cantal et du Sancy, de nombreux cas d’entérotoxémie et de charbon symptomatique ont été observés. Les bactéries responsables de ces deux maladies sont Clostridium perfringens, et Clostridium chauvoei.
Dans les deux cas, les animaux atteints sont rarement observés malades et sont plus souvent retrouvés morts. Les rares animaux qui peuvent être soignés à temps ont couramment des séquelles, respiratoires ou locomotrices, qui en font des non-valeurs économiques.
Dans ce contexte, il vous est fortement recommandé :
- De vacciner contre ces maladies les bovins qui montent en estive, en particulier les plus jeunes, réputés les plus vulnérables. Le vaccin doit être administré 2 fois à 3 semaines d’intervalle, pour une protection optimale pendant 1 an. Une seule injection protègera l’animal pendant 1 à 3 mois, avec un niveau de protection qui n’est pas garanti comme maximal.
- De repérer et de faire partir les cadavres le plus rapidement possible: ceux-ci sont sources de spores qui contaminent les parcelles, et les points d’eau. Il convient donc de les isoler du reste du troupeau (barrières), de les couvrir (bâche ou paille) et de les faire enlever par l’équarrissage le plus rapidement possible.
Vous trouverez ici une nouvelle version (datée du 09/07/2021) de la note concernant les exigences en matière de FCO pour les mouvements intra-européens depuis le 21/04/2021.
Vous trouverez ici la version du 12/04/2021
Vous trouverez ici la version du 31/03/2021.
VERS L'ESPAGNE
2 phases
1/ du 21 avril 2021 au 31 août 2021 maintien des conditions actuelles. Les espagnols sont conscients des difficultés à mettre en place cette vaccination 4 et 8 d’ici au 21 avril et nous accordent un délai :
• Bovins, ovins de moins de 70 jours
animaux issus de mères vaccinées OU animaux désinsectisés pendant 14 jours suivi d'un test PCR négatif
• Bovins, ovins de plus de 70 jours
animaux désinsectisés pendant 14 jours suivi d'un test PCR négatif OU animaux vaccinés BTV 8 et 4 depuis plus de 10 jours après la deuxième injection.
2/ A partir du 1er septembre 2021 nouveau protocole qui impose la vaccination 4 et 8 pour les adultes
• Bovins, ovins de moins de 70 jours
animaux issus de mères vaccinées OU animaux désinsectisés pendant 14 jours suivi d'un test PCR négatif
• Bovins, ovins de plus de 70 jours
animaux vaccinés BTV 8 et 4 depuis plus de 10 jours après la deuxième injection.
VERS l'ITALIE
L'Italie ne modifie pas ses conditions par rapport au protocole bilatéral actuel ( sauf le délai post vaccinal qui passe à 7 jours au lieu de 10)
• Bovins, ovins de moins de 90 jours
animaux issus de mères vaccinées OU animaux désinsectisés pendant 14 jours suivi d'un test PCR négatif
• Bovins, ovins de plus de 90 jours
animaux vaccinés BTV 8 depuis 7 jours après la deuxième injection.
REMARQUE: les conditions générales s'appliquent également; des ruminants vaccinés (8 et 4) depuis plus de 60 jours peuvent aller en Espagne et en Italie.
Le 5 mars nous recommandions d'adopter collectivement une stratégie vaccinale adaptée au contexte de chaque pays (ITALIE BTV 8 -ESPAGNE BTV4-8) d'une part et analysée au regard des disponibilités en vaccin d'autre part. Cette recommandation reste d'actualité dans un contexte de tension sur les disponibilités du vaccin bivalent et d'obligation vaccinale pour l'Espagne reportée au 1 septembre.
Claire LE BIGOT
DGAL
Nous rappelons qu’il est impératif d’inscrire la date du prélèvement de l’échantillon de cartilage sur l’enveloppe fournie, ainsi que les dates de congélation et de décongélation si l’échantillon a été congelé (pratique déconseillée actuellement).
En effet, l’analyse PCR BVD généralement mise en œuvre doit être réalisée dans les 15 jours suivant le prélèvement. Son coût est de 3,20 € HT auquel est déduit 1€ d’aide pour les adhérents GDS.
Depuis le mois de juin dernier, en l’absence de date de prélèvement (ou éventuellement de dates de congélation et de décongélation) et en cas de délai d’acheminement compris entre 15 et 30 jours après le prélèvement, le laboratoire TERANA pratique un autre type d’analyse appelé antigénémie BVD. Cette analyse « de rattrapage » limite le nombre de veaux à reprélever.
Le coût de cette analyse est par contre beaucoup plus élevé : 8,50 € HT auquel est déduit 1€ d’aide pour les adhérents GDS.
Le GDS a pris en charge de juin à septembre le surcoût de cette analyse.
A partir du 1er octobre 2020, le coût de l’antigénémie de 7,50 € (aide GDS déduite) sera entièrement à la charge de l’éleveur.
Pour que les analyses soient faites en PCR au tarif de 2,20 € et ne pas basculer sur une analyse en antigénémie à 7,50 € il faut impérativement :
- NOTER LA DATE DE PRELEVEMENT (et éventuellement de congélation/décongélation) SUR L’ENVELOPPE.
- Poster immédiatement l’échantillon une fois le cartilage prélevé (si vous bouclez le week-end, postez l’échantillon le lundi pour une meilleure conservation).
Protéger les gestations pour éviter la création d'IPI et arrêter la circulation virale au sein du cheptel.
« D'un point de vue sanitaire, l’introduction d’animaux revient à mélanger les microbismes des élevages acheteurs et vendeurs.
Les animaux achetés, s’ils sont malades ou porteurs inapparents d’une maladie absente de l’élevage acheteur, peuvent Ia transmettre à l’ensemble du troupeau.
A l'inverse, les animaux introduits peuvent ne pas avoir développé d’immunité contre des germes présents sur l’exploitation d’accueil. Ceci, combiné au stress de l’introduction, favorise l’expression des maladies aux conséquences parfois graves.
La connaissance des statuts sanitaires des élevages acheteurs et vendeurs sur 4 maladies majeures : CAEV/visna maëdi, fièvre Q, chlamydiose, paratuberculose, à partir de recherches sérologiques, permet d’analyser leur compatibilité.
L’objectif de cette démarche volontaire est de ne pas introduire de nouvelles maladies et de prévenir le risque d’expression de maladies présentes dans l’élevage acheteur sur les animaux introduits.
Aides GDS sur les tarifs préférentiels de TERANA 63 : 100 % la 1ère année – 50 % les années suivantes.
Cette démarche conseillée par les GDS a pour objectif de minimiser les risques sanitaires lors d'achats de lots d'animaux, de création, d'agrandissement ou de rassemblement de troupeaux. Elle permet de raisonner ses choix ou les mesures à mettre en place (vaccination...) en vérifiant la compatibilité sanitaire des lots, par recherche sérologique de certaines pathologies majeures.
Pour plus d'informations, vous pouvez consultez la plaquette d'information BVD
L’arrêté ministériel du 31/07/2019 décrit la mise en place d’un programme de surveillance et de lutte contre la maladie des muqueuses (BVD).
Cet arrêté consiste à mettre en place la première étape du programme national d’éradication de la BVD rendant obligatoire la recherche des animaux infectés dans tous les troupeaux de bovins.
La surveillance sur l’ensemble des troupeaux s’effectue par une recherche de virus sur tous les animaux à la naissance lors d’un prélèvement réalisé en même temps que les opérations règlementaires d’identification grâce à un dispositif de prélèvement sur cartilage. La notice de pose et la vidéo du fabriquant sont disponibles sur le site internet du GDS.
L'arrêté ministériel est consultable en cliquant ici.
Depuis la parution de l’Arrêté Ministériel du 31/07/2019, la commande de boucles préleveuses est désormais obligatoire. La nouvelle campagne de commande des boucles d’identification a démarré début juin, et laissait (l’arrêté n’étant pas sorti) le choix de commander soit des boucles conventionnelles, soit des boucles préleveuses.
Différentes situations existent, dont certaines nécessitent de se mettre en phase avec la réglementation :
- L’éleveur a commandé depuis juin des boucles préleveuses. Pas de problème.
- L’éleveur a commandé des boucles conventionnelles depuis juin. Il doit commander les boucles boutons correspondantes dont le prix coûtant unitaire avec enveloppe préaffranchie pour envoyer l’échantillon au laboratoire TERANA est de 2,33 € HT.
- L’éleveur n’a pas encore réalisé sa nouvelle commande. Il est dans l’obligation de commander des boucles préleveuses (le bon de commande EDE a été modifié en conséquence).
Cet article diffusé dans la presse agricole par le GDS63 le 23 août 2019 reprécise le contexte et les objectifs du programe national d'éradication de la BVD.
Il précise également les modalités de prélèvements, les analyses, les plans d'assainissement dans les élevages infectés et les modalités financières du programme sur le département du Puy-de-Dôme.
Pour consulter cet article, vous pouvez cliquer ici.
Protocole national OSCAR
Aides aux analyses pour les adhérents GDS à 80 % depuis le 01/07/2019 pour 7 maladies.
Contactez votre vétérinaire ou le GDS pour plus de renseignements
Le GDS63 vient de mettre en ligne un WEB service pour consulter le statut BVD d'un bovin et imprimer l'attestation BVD bovin non IPI correspondante. Cette consultation est possible sur 10 départements de la région Auvergne Rhône-Alpes pour tout bovin ayant séjourné sur un des départements concernés (01 – 07 - 26 - 38 – 42 - 43 - 63 – 73 - 74 et 69).
Pour consulter le statut d'un Bovin, il vous suffit de cliquer sur le bouton bleu à droite de votre écran sur la page d'accueil du site gds63.com.
Deux nouveaux outils sont mis à disposition des éleveurs adhérents dès 2019 : WEBGDS et CLASSDOC
WebGDS est un portail internet sur lequel les adhérents GDS peuvent gratuitement consulter leurs résultats d'analyses, leurs vaccinations IBR, leurs statuts sanitaires, les enregistrements GDS et demander le bilan sanitaire d'élevage.
ClassDoc est un outil permettant de remplacer les documents « papier » transmis par courrier par les différents organismes agricoles par des fichiers informatiques échangés sous forme dématérialisée.
Pour accéder à ces outils, cliquez sur l'image WEBGDS CLASSDOC à droite de votre écran, Rentrez votre identifiant et votre mot de passe reçu par mail, sélectionnez l'application souhaitée et naviguez sur celle-ci.
Pour plus d'information, veuillez consulter le lien en cliquant ici.
En cas de besoin, vous pouvez également consulter la documentation de l'utilisateur WebGDS en cliquant ici.
A partir du 1er septembre 2018, les attestations sanitaires (ASDA) changeront suite à la modification de l'information de la chaine alimentaire (ICA).
Ce changement n'entraine pas l'échange de la totalité des cartes vertes en possession des éleveurs mais nécessite de remplir éventuellement un document spécifique lors de sortie d'un animal du cheptel. Pour en savoir plus, veuillez cliquer ici.
L'Arrêté Ministériel du 31 mai 2016 a conduit en 2 campagnes de prophylaxies au passage de :
- 30 à 84,5 % de cheptels indemnes en IBR auxquels on peut rajouter 5% de cheptels en cours de qualification
- 10,6 à 4 % de cheptels avec au moins un bovin positif
Les chiffres de la dernière campagne sont consultables en cliquant sur ce lien.
L’introduction d’un animal représente un risque majeur de contamination de votre cheptel par de nouvelles maladies. Le GDS et le laboratoire d’analyses TERANA 63 vous proposent à partir d'octobre 2017 un kit introduction à tarif préférentiel permettant la recherche de 5 maladies : IBR, BVD, Paratuberculose, Besnoitiose et Néosporose.
Pour en savoir plus, veuillez cliquer ici.
Nouveau : Un plan de maîtrise est proposé par votre GDS
Vous pouvez consulter le lien en cliquant ici.
C'est courant 2016 que les élus du Conseil d'administration du GDS63 ont pris l'orientation d'investir dans un couloir de contention pour les bovins.
Cette acquisition avait un double objectif :
- Tout d'abord de sécuriser les interventions de prophylaxies dans les élevages où les moyens de contention ne sont pas appropriés,
- En second lieu, pour améliorer l'approche des animaux et la sécurité des personnes (éleveurs, salariés, vétérinaires...) qui sont concernées par ces opérations.
Cet équipement a bénéficié d'une subvention de la MSA dans le cadre de l'amélioration des conditions de travail.
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05. JEUNES AGRICULTEURS
Créés dans les années 50, les Groupements de Défense Sanitaire (GDS) sont des associations départementales dirigées par un conseil d'administration composé en majorité d'éleveurs. Pour mener à bien leurs missions, ils disposent d'un personnel administratif, de techniciens et de vétérinaires et s'appuient sur un maillage serré d'éleveurs délégués locaux. Ils sont agréés par le Ministère de l'Agriculture et bénéficient également du soutien de collectivités territoriales.
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